Expertise internationale sur la valeur de l’espéranto

Publié le vendredi 4 mai 2007

La commission était composée de 22 scientifiques et enseignants d’espéranto de 12 pays (Australie, Bharat [Inde], Brésil, Grande-Bretagne, Chine, Allemagne, Hongrie, Italie, Japon, Russie, Suède, États-Unis), qui représentaient diverses branches des sciences et qui possédaient au moins deux langues chacun. Pour décision de la commission, les questions posées : à propos de la langue construite “Espéranto” ont été :

1. La langue peut-elle avoir une valeur du point de vue de l’écologie linguistique — contribuer à la protection de la diversité linguistique ?
2. La langue joue-t-elle un rôle comme facteur psycho-propédeutique dans l’étude des langues étrangères ?
3. A-t-on le droit d’affirmer une influence positive de la langue sous l’aspect culturologique ?
4. L’espéranto contribue-t-il à l’égalité linguistique dans les relations internationales ?
5. L’espéranto est-il une langue vivante non ethnique ?
Les cinq questions ont toutes reçu une réponse positive.

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Remarque : Le pays le plus avancé au monde dans le domaine de l’enseignement officiel de l’espéranto est aujourd’hui la Hongrie.