Concours : un logo pour SAT-Amikaro

Comme vous l’aurez sans doute constaté,
notre association ne dispose pas encore
de logo officiel. Ce dernier permettrait
d’identifier de manière unique et
immédiate notre association sur divers
supports (bulletins d’adhésion, feuilles
indiquant des cours d’espéranto, livres
édités par SAT-Amikaro, tracts, etc.) ainsi
que lors des manifestations.

Pour cette raison, le Comité organise
un concours pour donner un logo à
SAT-Amikaro. Envoyez vos propositions
à sekretario chez sat-amikaro point org, elles seront
publiées tous les mois dans La Sago ainsi
que sur le site Internet de l’association
(www.esperanto-sat.info). Le concours
est ouvert à tous, membres de l’association
ou non.

Un débat aura lieu dans les colonnes de
La Sago concernant les propositions retenues
par le Comité. Le choix du logo
s’effectuera par vote lors du prochain
congrès de l’association (Pâques 2010).

Quelles sont les recommandations pour faire un logo facilement exploitable ?

Le logo final doit pouvoir être vectorisé
(svg, ai) sans inclusion de bitmap.
Il doit être déclinable en 4 variantes :
– Version quadrichromie (par exemple
pour internet/plaquettes imprimeur) ;
– Version 2 couleurs (par exemple pour
imprimeur 2 couleurs ou serigraphie
textile, etc.) ;
– Version niveaux de gris (photocopies) ;
– Version 1 couleur (sérigraphie).

Il faut favoriser les projets avec des traits
et des aplats, sans dégradés ni effets de
nuances etc. qui passent mal dans certains
types d’impression et rendent les
versions 1 couleur et 2 couleurs indispensables.

Le logo doit être déclinable en version
avec ou sans « signature ». Il est donc
nécessaire de définir la « signature » de
SAT-Amikaro. Le choix de cette dernière
peut être indépendant de l’image choisie
pour le logo. Il est donc possible de
les choisir séparément et d’adapter ensuite
la « signature » au logo.

Il faut que le mot « Espéranto » apparaisse,
ainsi qu’une mention indiquant
qu’il s’agit d’une langue (comme par
exemple : « Langue de Solidarité Internationale »). Il est également possible
d’utiliser le slogan : « Espéranto : vers une
culture sociale sans frontières », actuellement
utilisé pour La Sago. Le choix de la
signature comporte non seulement un
choix de texte mais aussi le choix de la
police sous lequel il apparaîtra.

Si vous n’avez pas les compétences informatiques pour satisfaire toutes les recommandations :

Dans ce cas, il vous est possible d’envoyer
votre proposition faite selon vos
compétences par courriel à sat-amikaro chez wanadoo point fr ou par courrier postal
au siège de l’association. Elle y sera traitée
par des camarades compétents.

Voici une série de
cinq propositions d’un auteur A, et
une variante de la proposition 5 de
A, par un auteur B.
Les propositions sont volontairement
anonymes et les explications
données par les auteurs ne sont
pas publiées, ceci afin de ne pas
influencer : rappelons qu’un bon
logo doit parler de lui même et ne
pas avoir besoin d’explications.

N’hésitez pas dès à
présent à envoyer vos
propositions (même si elles
ne respectent pas toutes les
recommandations énoncées
dans l’article introduisant le
concours). vos remarques,
et/ou vos proposition
d’aménagement (comme
pour A5B), par courrier au
siège, ou par net à l’adresse
indiquée plus haut.

– pour la série D, les variations D1a, D1b,
D1c (voir en page couleur) sont valables
aussi bien pour D1 que pour D2,
bien que non dessinées pour D2 ;
– la proposition F en fait n’est pas une
nouveauté, on la trouve dans une très
ancienne affiche rééditée récemment
en carte postale par la Coopérative
d’édition de SAT. Ce logo n’a jamais été
officiel, mais nous le pensons digne de
figurer au concours, d’autant qu’il a inspiré
une variante FB.

Les propositions H (1, 2 et 3) et D3 sont parues uniquement en couleur dans La Sago 63, p2. Nous les reproduisons ici en version noir et blanc.

D’autres propositions peuvent encore
être envoyées, et ce jusqu’au congrès
(par courrier au siège, ou par net à
l’adresse indiquée plus haut)

A vos plumes et/ou
pinceaux !

Le Comité de SAT-Amikaro
avec l’aide de Frédéric Scibor