Enfantaisies

Publié le lundi 5 novembre 2007

Lucette Lejeau et Christiane Chêne en ont été très satisfaites.

Pour les parents, c’est l’intérête côté pédagogique et propédeutique (comme enseignement préparatoire) qui doit être mis en relief.

Pour les enfants, c’est l’aspect ludique de la langue qui les attire : l’espéranto est comparable à un jeu de construction du fait que chacun de. ses éléments, comme en chinois, est invariable.

Bon nombre de très grands polyglottes ont appris l’espéranto très jeunes : Georges Kersaudy, qui, durant sa carrière de fonctionnaire international, a été amené à parler, écrire et traduire pas moins de 50 langues de l’Europe et de l’Asie dont l’espéranto. Il est l’auteur de “Langues sans frontières” (éd. Autrement) dans lequel il décrit 39 langues de l’Europe, espéranto inclus.
Paul Ariste, Estonien, dont la légende disait qu’il n’était pas de langue dans laquelle il ne pouvait se débrouiller (connaissance active de 26 langues, et passive d’une trentaine) devint un éminent linguiste.

Géza Bárczi (1894-1975) devint le plus éminent linguiste hongrois et membre de l’Académie hongroise des sciences. Il apprit l’espéranto vers 1908. Il reconnut que sa facilité avait éveillé son intérêt pour les langues et lui avait donné un avantage considérable pour en apprendre d’autres : "L’espéranto nécessite le dixième de l’effort exigé par les autres langues, et comme en général il n’y a que l’étude de la première langue étrangère qui soit difficile, celui-ci ouvre la porte aux autres."

Maxime Rodinson, qui l’avait appris à 11-12 ans, connaissait une trentaine de langues ; il estimait que le Dr Zamenhof était un génie.

Tout à fait au début de l’espéranto, il y eut l’ingénieur chimiste polonais Antoni Grabowski, surnommé “le père de la poésie en espéranto”, qui connaissait une trentaine de langues. Il fut le premier homme à parler au Dr Zamenhof (hormis Klara, l’épouse de celui-ci) dans ce qui se nommait alors la “Langue Internationale”

* Enfantaisies


Associations

Nous avons décidé d’entretenir des échanges avec deux associations avec lesquelles nous ressentons beaucoup d’affinités :

Libera Verda. Malgré son nom en espéranto (clin d’oeil !), ce n’est pas une association d’espéranto.
Objet : promouvoir la diffusion de pratiques respectueuses de l’environnement et des humains en s’appuyant sur une concertation et une médiation environnementale au bénéfice d’une gestion raisonnée des ressources naturelles et d’un développement local responsable ; cela afin de permettre la mise en place d’activités concrètes de protection, d’amélioration de conservation de l’environnement proche, mais aussi d’autres actions contribuant à reconstruire le lien social. Siège social : Libera Verda, 1 rue du Pijouit, 85140 Les Essarts.

Culture et Liberté

association d’éducation populaire : animation, activités artistiques, formation, accompagnement social, développement solidaire, échanges internationaux, étude, recherche, information.
Culture et Liberté, 86 rue Nationale, 85500 Les Herbiers